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Bonjour Ă  tous les amateurs de rituels et de magie, je suis ravie de vous retrouver pour partager avec vous le rituel de guĂ©rison Ă©motionnelle en compagnie de la dĂ©esse Nyalma. D’ailleurs, avant de vous dĂ©voiler les secrets de ce rituel pour que vous puissiez l’exĂ©cuter, je vais vous raconter l’histoire de cette dĂ©esse !

Il existe, entre les battements du cƓur et les silences de la nuit, un espace sacré 
Un lieu invisible, oĂč les blessures murmurent encore, et oĂč les Ăąmes cherchent la paix.
Ce lieu, c’est celui que nous allons traverser ensemble.

Ce n’est pas un voyage dans le passĂ©, ni une fuite vers demain.
C’est une traversĂ©e douce, sous le regard de la Lune

LĂ  oĂč la lumiĂšre rencontre l’ombre

LĂ  oĂč les mots que l’on n’a jamais osĂ© dire peuvent enfin respirer.

je vous invite Ă  un moment suspendu.
Un moment pour vous. Pour votre cƓur. Pour guĂ©rir doucement.

Laisse-vous porter
 car tout commence par cette histoire.

Il y a bien longtemps, avant que les hommes n’apprennent Ă  nommer leurs douleurs, avant que la Lune ne devienne muette dans le ciel, le monde connaissait une autre forme de justice — une justice du cƓur, silencieuse et sacrĂ©e.

C’est dans ce monde oubliĂ© que vivait Nyalma, une dĂ©esse que peu connaissaient, et que personne n’osait invoquer. On ne lui bĂątissait ni temple, ni statue, car elle n’habitait pas la pierre. Elle vivait dans les soupirs retenus, les silences lourds, les regards brisĂ©s qui cherchent un ciel sans trouver de rĂ©ponse.

Nyalma était la Gardienne des Mémoires Blessées.

Son domaine n’était ni le feu, ni la guerre, ni la loi. Elle rĂ©gnait sur ce que les autres dieux craignaient : la mĂ©moire Ă©motionnelle — ce qui survit aprĂšs les cris, ce qui reste dans la poitrine quand tout semble terminĂ©. Les hommes l’avaient oubliĂ©e, car ils croyaient qu’en taisant leur douleur, elle disparaĂźtrait.

Mais la douleur, ignorĂ©e, se cache dans les os, dans la peau, dans les rĂȘves.

Chaque nuit de Lune Nouvelle, quand le ciel est le plus sombre, Nyalma s’éveille. On dit qu’elle descend sur Terre, invisible, pieds nus, enveloppĂ©e d’un manteau tissĂ© de brume et d’argent. Dans sa main droite, elle tient une coupe d’eau lunaire, pure et silencieuse. Dans sa main gauche, une plume blanche arrachĂ©e Ă  l’aile d’un oiseau qu’on n’a jamais vu.

Elle marche dans les rĂȘves, dans les souvenirs, dans les mots jamais dits.

Alena Ă©tait une jeune femme que tout le monde croyait forte. Elle souriait souvent, offrait son aide, et gardait sa douleur comme on garde un secret honteux. Depuis l’enfance, elle portait le poids du rejet : un pĂšre parti trop tĂŽt, une mĂšre absente mĂȘme quand prĂ©sente, des amitiĂ©s brisĂ©es sans explication, des amours Ă  sens unique.

Elle croyait que souffrir en silence était une forme de dignité. Que le pardon consistait à se taire. Et que guérir signifiait « oublier ».

Mais rien ne disparaissait vraiment. Les blessures non dites s’accumulaient, comme des pierres dans son ventre. Et chaque nuit, elle rĂȘvait d’un feu qu’elle ne pouvait Ă©teindre.

Un soir, alors que la Lune Nouvelle plongeait le monde dans l’obscuritĂ©, Alena sentit un appel. Un frisson dans l’air, une voix sans mots. Elle se leva, quitta sa maison sans prendre de manteau, et marcha. Longtemps. Jusqu’à atteindre un lieu Ă©trange, comme sorti d’un autre monde : une falaise au-dessus d’une mer d’encre, oĂč le vent ne soufflait plus.

LĂ , elle cria. Elle cria pour toutes les fois oĂč elle s’était tue.

Mais aucun Ă©cho ne lui revint. Juste le silence. Jusqu’à ce que l’eau devant elle se mette Ă  luire.

La mer s’écarta doucement, rĂ©vĂ©lant une silhouette lumineuse qui marchait sur les flots.

C’était Nyalma.

Elle n’avait ni Ăąge ni visage fixe. Dans ses yeux, on pouvait voir des souvenirs : des enfants qui pleurent, des femmes en colĂšre, des hommes qui s’écroulent aprĂšs avoir trop portĂ©.

Nyalma s’approcha sans un mot. Elle tendit à Alena une plume blanche.

« Écris », dit-elle enfin. Sa voix rĂ©sonnait comme un souffle Ă  l’intĂ©rieur de soi.

« Écris ce qui pĂšse, ce que tu n’as jamais osĂ© regarder. »

Alena hĂ©sita. Puis elle s’agenouilla. Devant elle, une pierre blanche surgit de la terre, lisse comme la lune. Et elle Ă©crivit.

Elle écrivit son enfance abandonnée. Les promesses non tenues. Les humiliations masquées par des sourires. La colÚre rentrée. La solitude déguisée en force. Elle pleura. Elle trembla. Mais elle écrivit.

Quand elle eut terminĂ©, elle releva les yeux. Nyalma ne la jugeait pas. Elle l’observait avec cette compassion qu’aucun ĂȘtre humain n’avait jamais su offrir.

Alors, la déesse posa sa main sur la pierre.

Et la pierre devint poussiĂšre d’argent, emportĂ©e par le vent.

« Ce que tu as Ă©crit ne t’appartiendra plus de la mĂȘme façon », dit Nyalma. « Tu l’as regardĂ©. Tu l’as nommĂ©. Et maintenant, tu le rends Ă  la nuit. »

Puis elle versa l’eau lunaire sur les mains d’Alena.

« Cette eau est l’oubli sacrĂ©. Pas celui qui efface, mais celui qui libĂšre. »

Un calme profond descendit dans le corps d’Alena. Elle n’était plus vide. Elle n’était plus en colĂšre. Elle Ă©tait juste... libre.

Et avant de disparaĂźtre, Nyalma ajouta :

« Chaque fois que tu Ă©criras sous la Lune, je viendrai. Car la justice vĂ©ritable n’est pas punition. C’est la reconnaissance de ce qui fut, et la guĂ©rison de ce qui est. »

Depuis ce jour, ceux qui connaissent le nom de Nyalma murmurent son histoire lors des nuits de Lune Pleine ou de Lune Nouvelle. Ils allument une bougie blanche. Ils Ă©crivent, plongent leurs mains dans l’eau, et sentent l’ombre quitter doucement leur cƓur.

Et peut-ĂȘtre, au creux du silence, sentent-ils une prĂ©sence : celle d’une dĂ©esse oubliĂ©e, qui marche dans la nuit, portant une coupe d’eau et une plume blanche.

Peut-ĂȘtre, en Ă©coutant cette histoire, avez-vous ressenti quelque chose.
Une Ă©motion qui remonte, un souvenir, ou simplement cette sensation Ă©trange que quelque chose en vous demande Ă  ĂȘtre entendu.

Vous n’avez pas besoin d’ĂȘtre Alena. Vous n’avez pas besoin de marcher jusqu’au bord du monde.
Car ce soir ou cette nuit, ou durant ce moment que vous prendrez pour vous,  Nyalma peut venir Ă  vous.

Si vous le souhaitez, je vous invite à faire le rituel de guérison émotionnelle, guidé par la Lune
 et inspiré par cette gardienne des mémoires blessées.
vous n’avez besoin que de quelques objets simples
 et de votre cƓur ouvert.

Installez-vous confortablement. Trouvez un endroit calme, intime, dans lequel vous vous sentez en sĂ©curitĂ© et oĂč vous pouvez laisser tomber les masques, les armures, les « ça va » prononcĂ©s par habitude.

Munissez-vous d’une bougie blanche ou d’une bougie argentĂ©e. Posez prĂšs de vous une Pierre de Lune ou un cristal de sĂ©lĂ©nite, un papier, un stylo. Choisissez de l’encens, de prĂ©fĂ©rence de lavande ou de camomille et n’oubliez pas le bol d’eau.

Allumez l'encens et la bougie pour créer une atmosphÚre apaisante et spirituellement connectée.

Fermez les yeux et prenez quelques respirations profondes pour vous dĂ©tendre. Visualisez la lumiĂšre de la Lune qui descend lentement, enveloppant tout votre corps d’une lumiĂšre douce et apaisante.

Sur la feuille de papier, Ă©crivez toutes les Ă©motions qui vous pĂšsent, toutes les blessures Ă©motionnelles non guĂ©ries, et les pensĂ©es nĂ©gatives qui vous empĂȘchent de vous Ă©panouir. Cela peut inclure des peurs liĂ©es Ă  l’abandon, des sentiments de rejet, ou des blessures du passĂ©.

Relisez les mots que vous avez écrit et relùchez ces émotions. Imaginez que la Lune pleine ou la Lune nouvelle purifie chaque pensée ou douleur. Visualisez cette lumiÚre lunaire balayant toutes ces énergies négatives, les transformant en sagesse et en guérison.

Plongez vos mains dans le bol d'eau, symbole de purification. Imaginez que l'eau contient l'énergie curative de la Lune. En plongeant vos mains, laissez l'eau purifier votre énergie et vous libérer des anciennes blessures émotionnelles.

Remerciez la Lune et l'univers pour cette purification et guĂ©rison. Éteignez la bougie en la remerciant pour la lumiĂšre qu’elle vous a apportĂ©e. Gardez la pierre de lune ou la sĂ©lĂ©nite prĂšs de vous pour continuer Ă  bĂ©nĂ©ficier de son Ă©nergie apaisante. Et relaxez-vous !

En acceptant l’aide de NYALMA, vous acceptez vos blessures mais vous acceptez aussi de les voir ressurgir afin de vous en distancer en pleine conscience et qu’elles deviennent juste votre passĂ© !

Je vous souhaite une trÚs douce journée magique, prenez soin de vous et à trÚs bientÎt. ! Pour écouter le PODCAST, cliquez sur l'image !

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